Je suis arrivé dans la « ZUP » en 1971. Mes parents étaient des prolétaires qui se saignaient aux quatre veines pour éduquer leurs cinq enfants. Expressions a été pendant longtemps notre lien avec l’actualité de la commune. J’ai adoré les pages sport que j’ai découvertes avec Djamel. J’ai adoré la culture que j’ai redécouverte avec Jean-Charles. Même en étant parti de la commune en 2005, c’est un bi-mensuel que je guette avec impatience et curiosité. Ce n’est pas en mettant en cause un organe de presse que l’on valorise la démocratie ni la liberté. Je suis solidaire avec vous. Vénissieux a besoin d’un tel outil de communication.
Carlos Soto, auteur et correspondant du Progrès